Tai Ji Jiang – Tai Ji avec une épée

Style de la famille Yang du Maître CHEN LIANG CHAO Les épées sont des armes traditionnelles de défense, très appréciées en Chine. Les empereurs de la dynastie des Zhou (770-221 avant J.C.) et de la dynastie des Qin (221- 207 avant J.C.) ont élevé les techniques de l’épée au rang d’Art. Tous les disciples de Confucius devaient apprendre le maniement de l’épée parmi les autres pratiques artistiques. C’est ainsi que s’organisèrent des compétitions, non plus seulement pour le combat, mais pour le plaisir sportif et esthétique. Les principes et la philosophie de cet art se sont affinés et ont évolué en même temps que les techniques selon l’outil (épée simple ou épée double, épée longue ou épée courte). La pratique de l’épée développe, la force, l’habileté, la souplesse, l’harmonie, la maîtrise et façonne le mental

San Shou : « la dispersion des mains »

Le San Shou fait partie des exercices dans lesquels deux partenaires s’opposent en utilisant les principes du Tai Ji Quan : souplesse, présence, et non violence. La pratique du San Shou développe la qualité « écouter – observer », « coller » ou « suivre – adhérer», c’est-à-dire le sens du contact juste, connaître ses limites et les limites du partenaire, renforcer l’enracinement, la souplesse dans le bassin et dans les hanches. La pratique du San Shou apporte une meilleure compréhension de la signification des mouvements de la forme du Tai Ji Quan.

Tui shou à quatre mains

Le Tui Shou à deux main puis à quatre mains, sur place et en déplacement. On y développe le sens du toucher et on y apprend à contrôler l’axe de son opposant tout en protégeant le nôtre. On s’exerce ainsi à toujours bien placer le centre de gravité, qui est conditionné par le déplacement. C’est ce qu’on appelle en langage codé « maîtriser la notion du plein et du vide ». le Tuishou est communément pratiqué dans le but d’échanges. La pratique du Tuishou est un excellent antistress, car sa complexité demande une présence permanente face au partenaire. On peut le considérer comme une méditation active.

Tui shou à deux mains

La pratique de Tui Shou permet de mieux comprendre les mouvements de base de la forme de Tai Ji Quan ainsi que la précision dans la conduite du Nei Jing (force intérieure) essentiellement pour équilibrer le travail interne. Dans la rencontre avec le partenaire, il apparait très vite comme un merveilleux échange à vivre, entre le donner et le recevoir tout en révélant une « touche » ludique.

Tai Ji Quan – la première partie

Les clés du succès pour atteindre une bonne pratique sont la persévérance, la régularité et la patience. Cette vidéo ne devra pas se comparer avec l’enseignement de votre professeur ni le remplacer, car c’est avec lui que vous pourrez être corrigé pour vous améliorer et avoir les possibilités de réaliser l’harmonie du corps, du souffle et de l’esprit.

The keys of success to achieve a good practice are dedication, regularity and patience. You should neither compare this video to your teacher’s teaching nor replace it, since it is thanks to him that you can be corrected/ (since he is the only one who can correct you) in order to improve and get the possibility of realising body, breath and mind’s harmony.

Tai Ji Quan – la deuxième partie

Tai Ji Quan est parfois traduit par Boxe du Faîte Suprême mais aussi Boxe de la Grande Polarité en lien avec les principes de Yin et de Yang. Cette succession de mouvements qui s’écoulent de manière fluide et sans interruption à partir du bassin a pour but essentiel de favoriser la circulation de l’énergie dans tout le corps, ce qui contribue au maintien d’une bonne santé. Les bienfaits s’en ressentent tant sur le plan physiologique (meilleur équilibre corporel, contrôle du souffle…) que sur le plan psychique (calme, concentration, confiance en soi).

Tai Ji Quan is sometimes translated by Boxing of the Supreme Feast but also Boxing of the Great Polarity in connection with the principles of Yin and Yang. This succession of movements that flows smoothly and continuously from the pelvis is intended primarily to promote the flow of energy throughout the body, which contributes to the maintenance of good health. The benefits are felt both physiologically (better balance body, breath control …) than on the psychic level (calm, concentration, self-confidence).

Tai Ji Quan – la troisième partie

Cette succession de mouvements qui s’écoulent de manière fluide et sans interruption à partir du bassin a pour but essentiel de favoriser la circulation de l’énergie dans tout le corps, ce qui contribue au maintien d’une bonne santé. Les bienfaits s’en ressentent tant sur le plan physiologique (meilleur équilibre corporel, contrôle du souffle…) que sur le plan psychique (calme, concentration, confiance en soi).

This succession of movements that flows smoothly and continuously from the pelvis is intended primarily to promote the flow of energy throughout the body, which contributes to the maintenance of good health. The benefits are felt both physiologically (better balance body, breath control …) than on the psychic level (calm, concentration, self-confidence).

Tuishou

La pratique de Tui Shou permet de mieux comprendre les mouvements de base de la forme du Tai Ji Quan ainsi que la précision dans la conduite du Nei Jing (force intérieure) essentiellement pour équilibrer le travail interne. Cette pratique apporte souplesse, adaptabilité et mobilité, c’est un excellent antistress, car sa complexité demande une présence permanente face au partenaire.

Elle apparait très vite comme un merveilleux échange à vivre, entre le donner et le recevoir tout en révélant une « touche » ludique.

Les 13 exercices d’assouplissement pour le Tai Ji Quan et le Qi Gong :

Ces exercices assouplissent les articulations des hanches, augmentent l’afflux sanguin dans le bas du dos et le bas du ventre. Ils permettent également d’étirer en douceur l’ensemble ligamentaire et musculaire du dos.