Ma profonde gratitude à Élise Argouac’h, qui a su, par la finesse de ses mots et la délicatesse de sa sensibilité, faire revivre l’histoire de notre association à travers un poème cérémonial d’une grande justesse.
Ses vers ont touché le cœur de chacune et de chacun, réveillant la mémoire, l’émotion et l’élan vivant qui nous unit.
NB : Le kasàlà est un poème cérémoniel, une manière élogieuse, publique et solennelle de nommer la personne ou un groupe des gens. Le poète célèbre l’autre, se célèbre lui-même et célèbre l’humanité ainsi que le mystère de la vie.







